Elle, c’est Sophie Del Rosso, une blonde pulpeuse avec des origines italiennes qui nous vient de Cannes. En train de faire le buzz sur la toile grâce à son nouveau clip « Dis moi les mots », l’auteure-compositrice a bien voulu répondre à quelques-unes de nos questions afin de nous révéler les dessous d’une carrière en pleine ascension…
Bonjour Sophie et merci de répondre à nos questions ! Raconte-nous, comment as-tu commencé la musique ?
SDR : J’ai commencé la musique très jeune, en chantant dès l’enfance. J’ai toujours ressenti un lien profond avec la scène, d’abord à travers la danse, puis à travers le chant, qui est devenu également mon moyen d’expression. Mes parents m’ont fait naître dans une piscine, j’affirme que « Je suis née sur scène » et avec le public biensur.
L’élément déclencheur a été le besoin vital d’être sur scène, de transmettre des émotions et d’être en communion avec le public. Je me rappelle lorsque j’étais adolescente en sport étude danse, mes copines danseuses me demandaient de leur chanter des chansons dans les vestiaires ou dans le bus qui nous a amené au Ballet… Je me rappelle que dans les vestiaires je faisais même la mise en scène, on passé de bons moments amicaux grâce à la musique….
Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ton tout dernier single « Dis moi les mots » ?
SDR : Mon dernier single s’inspire de mes expériences de vie. J’essaie toujours de transformer les difficultés en messages positifs. Je veux que mes chansons soient un souffle d’espoir, qu’elles fassent vibrer les cœurs et apportent de la lumière à ceux qui les écoutent. Et j’espère un élan pour leur donne la force d agir 🤗. La nature, comme la mer et les couchers de soleil, jouent aussi un rôle important dans mon inspiration, dans mes moments de création, car elle m’apaise et me reconnecte à l’essentiel.
Quelle est ta façon de composer ? Tu préfères d’abord commencer par la musique ou les paroles ?
SDR : Ça dépend vraiment du moment, mon ressenti sur l’instant. J’écris beaucoup, j’aime écrire cela me permets de me libérer. Je sais quelles instruments je veux dans chacun de mes morceaux. J’aime le son des vrais instruments, notamment du piano et de la basse. Parfois, une mélodie naît en moi comme une évidence, et je la façonne pour qu’elle corresponde à une émotion précise. D’autres fois, ce sont les mots qui viennent d’abord, souvent porteurs d’un message ou d’une histoire à raconter. la musique et les paroles se nourrissent toujours l’une de l’autre dans mon processus créatif.
En tant qu’artiste indépendant, quelle a été la plus grande difficulté pour avancer dans ta carrière ?
SDR : La plus grande difficulté, c’est de se faire connaître et de faire entendre sa musique en radio. Trouver sa place dans un univers musical où il y a tellement de talents est un vrai défi. De tout gérer moi même: création, production, promotion, tout en gardant une vision artistique forte. Trouver les ressources, qu’elles soient financières ou humaines, peut être un vrai défi. Mais c’est aussi une chance, car cela me permets de construire un univers qui me ressemble entièrement, de rencontrer des gens passionnés, de collaborer avec qui j’ai envie, de chanter ma musique, mes paroles, mon histoire. Même lorsque l’on me propose des titres, si cela me correspond, je peux choisir avec grand plaisir de poser ma voix.
Au niveau de ton budget, comment est-il réparti entre la création de ta musique, la création de tes clips et ta promotion ?
SDR : Cela varie en fonction des projets, mais je dirais que je répartis de manière assez équilibrée : environ 50% pour la création musicale (studio, arrangements), 50% pour les clips (qui permettent de donner une identité visuelle à ma musique)… en revanche pour le moment je n’ai pas encore fait de promotion, à part mettre ma musique mes clips sur les réseaux et YouTube …. Et je me rends compte aujourd’hui que c’est indispensable pour toucher un public plus large et faire vivre ses créations. Alors il va falloir que je m y mettes….
Si tu avais un conseil à donner à tous les artistes qui veulent se lancer pour vivre de leur musique, ça serait quoi ?
SDR : Suivez votre instinct, prenez plaisir dans chaque chose que vous faites. Restez focus sur vos objectifs. travaillez avec des personnes qui partagent vos valeurs, qui correspondent à votre musique. Entourez vous d’une bonne équipe dynamique enthousiaste qui croit comme vous en votre projet… Et surtout, soyez authentiques, soyez vous même.
Sans tricher, donne-nous les 3 derniers morceaux que t’as écoutés aujourd’hui !
SDR : 1. Michael Jackson – dirty diana
2. slimane – sentimental
3. Lana Del rey – Young & beautiful
Quels sont tes objectifs pour 2025 ?
SDR : Pour 2025, mes objectifs sont clairs :
Je veux enfin pouvoir vivre que de ma musique. Je veux sortir un album, qui reflète pleinement qui je suis aujourd’hui. Je souhaite également multiplier les scènes, que ce soit des concerts intimistes ou des festivals, pour créer une vraie connexion avec mon public. Et bien sûr, collaborer avec d’autres artistes et producteurs talentueux. 2025, c’est l’année où je veux poser des fondations solides pour une carrière durable.
Un dernier mot pour la fin ?
SDR : En premier je vous remercie sincèrement pour cette interview. Et à tous ceux qui rêvent de vivre de leur passion : n’abandonnez Pas. Vos rêves méritent d’être vécus.
Et dans les moments où ça ne va pas, C’est là où encore plus il faut se concentrer sur notre projet… Écrivez, créez, ne vous éloignez pas de vos objectifs. J’ai eu deux trois années difficiles qui m’ont clairement éloignés de mes objectifs. J’ai effectivement beaucoup appris, notamment que dans ces moments-là, il faut encore rester focus sur ces objectifs auxquels on croit profondément pour mieux surmonter. THINK POSITIVE 🧘♀️🌸
Merci d’avoir lu cette interview. Vous pouvez retrouver Sophie Del Rosso sur ses réseau sociaux, tous les liens sont en bas de cet article.
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